Voilà après plusieurs semaines de silence où je fais mon grand retour.
Ceci étant que l’inspiration est très un peu partie sur un autre terrain, mais j’ai pu y retrouver avec succès :).
Je suis toujours à l’écoute de vos propositions soit par mail (blog@johantech.ch) ou sur les réseaux sociaux !
Office 365
J’ai longtemps utilisé la suite Office (beaucoup Word et Excel) pour faire mes travaux et l’application OneNote pour des prises de notes rapides.
D’ailleurs OneNote est vraiment un outil tellement puissant et adaptif pour la prise de notes autant bien des annotations manuscrites que directement tapés sur l’ordinateur, avec des images puis reannotées par dessus, une conversion rapide en fichier PDF.
Mon travail m’a attribué une licence Office 365 avec une boite mail Exchange et toute la suite Office qui va avec.
Puis arrivé à la deuxième rentrée scolaire où nous avons reçues chaque élèves et enseignants un accès à la suite Office (aussi avec une boite mail attribuée pour chaque personne) en ligne et en téléchargement.
Tout ceci pour communiquer plus facilement et échanger des fichiers sans trop poser de problèmes.
Personnellement, j’utiliserai vraiment du Office 365 juste pour le système de mails (Exchange) qui est juste excellente et optimales pour des communications à l’interne d’une entreprise.
Par contre, je pense que tout ce qui est partage de documents collaboratifs et les versions en ligne de la suite Office c’est juste à fuir pour moi.
Je connais beaucoup d’entreprises qui transitent très gentiment sur les solutions d’Office 365.
Google WorkSpace (ou anciennement G Suite)
Depuis que j’ai connu la version Google WorkSpace pour les entreprises (donc cela veut dire avec son propre nom de domaine).
Je l’utilise beaucoup dans le cadre d’une de mes activités en dehors de mon travail et de ma formation qui est très pratique simple à utiliser.
Depuis peu, j’ai pris un nom de domaine que j’avais sous la main (acheté chez Infomaniak) et j’ai changé dans les zones DNS pour les mails (ce qu’on appelle des champs MX) qui doivent pointer chez Google.
Personnellement je trouve que l’interface est simple à utiliser et la gestion des partages aussi.
Quand on doit faire des travaux de groupes, j’opte directement pour la suite Google qui permet d’avoir une gestion très facilitée, avec chacun une adresse mail qui lui est attribuée et un Drive partagé.
Par contre, je suis quand-même moyennement satisfait sur leur politique de protection des données de manière globale.
Pour résumer, j’ai toute la suite Google (Docs, Drive, Groupes, Gmail, …) avec 2To (ou 2’000 Giga) de stockage pour une vingtaine de francs par mois et par utilisateur, pour ce que je fais, c’est une bonne affaire.
Protection des données
Bon, faut avouer que je ne suis ni un pro Google à 100% ou un pro Microsoft à 100%.
Sans m’étaler sur les politiques des deux entreprises, pour moi Google est pas trop l’endroit où je mettrai toute ma vie dessus mais je trouve que la puissance de la gestion et de la conception d’un programme qui fait du traitement de texte, Google passe la compétition à main levées.
Il faut préciser que Microsoft ont des bureaux en Suisse et quand on passe un achat pour un Office 365 for Business, on reçoit une facture avec l’adresse de leurs bureaux qui sont à Zurich.
Par contre, Google c’est avec l’adresse qui est basée en Irlande, je ferai sûrement un prochain article du pourquoi du comment les très grosses entreprises font leur siège social pour l’Europe en Irlande (j’en dis pas plus ;).).
Conclusion
Le mieux reste malgré tout Google, même si c’est pas totalement transparent, leurs manières pour la protection des données et cela reste malgré tout un excellent rapport qualité prix avec le service qui est offert.
La rétrospective de cette année se fait en sans oublier l’évidence qui nous a majoritairement impacté nos vies depuis le mois de mars.
Je ne vais pas prendre le rôle des journalistes et de rajouter une couche inutile, mais faut savoir que cela m’a permis de prendre un peu de recul sur le contenu et la forme du blog.
Statistiques qui sont relativement bonnes
C’est pas aussi folichon qu’en 2019 mais je tiens encore à dire que nous avons battu le record du nombre de visiteurs qui est en février 2020 avec 13’936 visiteurs.
En 2019, il s’agissait du mois de juillet avec 12’793 visiteurs.
La Rétrospective
Alternative Suisse au stockage des données
Je commence cette rétrospective avec l’article de kDrive (d’Infomaniak), j’ai été l’un des privilégiés à pouvoir utiliser la première version bêta lancé il y a un an.
Par la suite, j’ai pu faire transiter quelques personnes de Google Drive/OneDrive/Dropbox à kDrive :).
Et pendant le confinement il m’était très utile à créer des boîtes de dépôts et partager des documents pour mes travaux.
Les visioconférences
J’avais sondé une trentaine de personnes sur leur utilisation des logiciels de visioconférence.
Le début du sondage tombait en même temps que la polémique sur le traitement des données chez Zoom (qui était très voire trop prisé lorsque tout le monde était en home-office).
Donc cela m’a permis de faire un lien que je ne m’attendais pas trop à faire, mais le résultat était intéressant.
Personnellement, la plateforme que j’utilise le plus (qui est toujours le cas actuellement) est Discord : autant pour les cours professionnels que pour rester en contacts avec mes proches.
Contact tracing
Continuons sur la même lancée, j’ai pu parler du contact tracing (bien avant les directives qui ont été pris sur le Canton de Vaud avec SocialPass).
Et c’était en même temps que le lancement de l’application SwissCovid.
Pour vous donner un peu plus le contexte (ou vous le rappeler), suite à la première réouverture des restaurants en mai, GastroVaud (la société qui gère tous les restaurateurs sur le canton de Vaud) ont mis en place des feuilles où on devait inscrire nos noms, numéros de téléphone, …
Dans le cas où quelqu’un serait positif, le médecin cantonal peut appeler les personnes qui ont été autour d’elle durant ce temps.
Mais bon qui dit papier, dit transmission entre les tables et visibilité des coordonnées des autres personnes…
Donc niveau traitement des données c’est pas tellement top, du coup Infomaniak ont mis rapidement en place un système qui permet aux restaurateurs de créer des QR code pour pouvoir le faire de manière numérique.
Les avantages : les données des hôtes restent en Suisse, non visible des autres et Infomaniak informe le canton s’il y a un cas positif.
Ce film-documentaire produite par Netflix reflète extrêmement bien la réalité de notre utilisation des réseaux sociaux et de l’internet en général.
Tout se généralise sur du cloud niveau travail, privé, vie associative, …
Après avoir vu ce film, cela remet en question le positionnement des géants du web (vous savez, la fameuse GAFAM qu’on utilise quotidiennement).
Et cela (petit parallèle) a fait ses preuves lorsqu’on était victime d’une panne partiel des services de Google (les services de Google Drive et YouTube) le 14 décembre.
Pour ceux qui n’auraient vu ni l’article que j’ai fait mon analyse personnel ou même vu le film voici les liens :
Je tiens à préciser que ce film se trouve uniquement sur Netflix mais il en vaut le détour, je mets le lien (pour ceux qui ont Netflix) tout en bas de l’article.
Il a été réalisé en début d’année 2020, donc fait très récemment et il regroupe une partie documentaire avec des interviews d’anciens concepteurs de Google, Facebook, Pinterest, Instagram (avant son rachat par Facebook), et des militants contre les réseaux sociaux et le traitement des données.
Il regroupe également une grande partie des sujets d’actualité en 2020.
Quand je dis concepteurs, ce sont ceux qui ont conçus la plateforme Gmail (niveau présentation et en backend, le développement), les likes sur Facebook, les scrolls à l’infini sur les réseaux sociaux.
Et il regroupe aussi une partie fiction qui représente de ce qui a été dit lors des interviews pour bien faire comprendre l’illustration du quotidien d’un usager lambda comme vous et moi avec les réseaux sociaux.
Trouver le juste milieu entre vous expliquer le documentaire sans trop aller dans les détails, parce qu’il y a beaucoup à raconter ni de vous gâcher certains passages est relativement ambitieux.
Voici la bande-annonce officielle :
Maintenant, les spécialistes disent que ce n’est pas rattrapable
On parle de ceux qui ont conçu une grosse partie des réseaux sociaux et donc sont maintenant pères-mères de famille avec des enfants.
Ces personnes là, interdisent leurs enfants d’aller sur les réseaux sociaux car l’histoire qui est derrière tout cela est juste inimaginable à y croire et ce n’est pas banal comme décision à prendre.
On a tous reçu une fois au moins sur n’importe quelle plateforme, une notification avec des recommandations pour aller soit voir une publication ou une vidéo.
Le fait de faire ce clic, tout un algorithme se met en place pour vous en recommander d’autres tout en calculant le nombre de fois que vous avez déverouillé votre téléphone, êtes allés sur la plateforme et le temps que vous passez dessus.
Plus vous cliquez sur ces recommandations, plus il va affiner sa recherche avec vos centres d’intérêts.
Rechercher un produit peut vite être submergé de bannières de publicités
Pendant le confinement, j’ai cherché une nouvelle machine à café pour la maison donc on va sur les gros sites en Suisse tels que galaxus.ch, manor.ch et j’en passe… pour trouver celui au meilleur prix.
Car fallait pas oublier, les magasins qui vendent ce genre de produits, étaient fermés suites aux directives du Conseil Fédéral de mars.
Trouvant ma machine à café j’ai pu remarquer que les minutes qui ont suivies, mon téléphone était innondé de pubs pour la machine à café que je voulais dès que j’allais sur Facebook, YouTube, Instagram, …
Tout cela pour dire qu’une simple recherche sur un site totalement basique peut vite nous submerger avec des publicités de ce style.
Les partages des posts
Je vais prendre un sujet où (selon moi) on entend tout et rien en même temps : la situation sanitaire actuelle.
On n’a jamais, dans l’histoire des réseaux sociaux, autant médiatisé et repartagé des infos (vraies et fausses) sur le COVID-19.
Les médias Suisses ont bel et bien compris ce qui circule sur les réseaux sociaux et vu qu’ils ont le petit label bleu certifiant qu’il s’agit bien d’une page officielle rajoute une couche en mettant des gros titres qui font bien réagir.
J’ai pu le remarquer quand l’OFSP (l’Office Fédéral de la Santé Publique) ont sorti les chiffres des nouveaux cas positifs durant la période mai-août (la période avant qu’ils rendaient accessibles les tests PCR gratuit) les médias n’ont pas dit “La suisse compte XXX cas lors des derniers 24h” mais plutôt “La Suisse est à un taux de contamination de XX% pour 100’000 habitants” ce qui faisait bel et bien des suppositions.
Et même maintenant quand ils mentionnent les 72 dernières heures, les médias s’empressent pour dire les gros chiffres mais pas la durée dans leurs titres.
Tout cela pour dire, qu’un simple clic une publication peut prendre beaucoup d’ampleur en très peu de temps, d’ailleurs ils en parlent d’un sujet en particulier qui n’est pas lié au COVID mais l’idée et l’intention est la même.
Les jeunes accros aux J’aimes et TikTok
Ce qui m’a particulièrement interpellé ce sont comment, nous, les jeunes d’aujourd’hui qui sont bassinés dans ce monde des réseaux sociaux arrivent à voir qu’on est dans une telle addiction.
Petite anecdote du blog et personnelle en même temps, pour moi Facebook, Twitter, Instagram, … ce sont une majeure partie juste mes outils de travail pour mes activités comme johantech.ch ou mes autres sites que je veux mettre en avant.
Bien évidemment, que je suis heureux de voir des utilisateurs qui likent mes publications et qui les commentent que juste voir qu’une partie a juste vu mon post et ont continué à scroller sur leur fil d’actualité.
Et aussi depuis le début de cette année scolaire, la radio avec quoi on publie une story pour voter sur un sujet de débat qu’on parle lors du talk-show le soir même et aussi une photo où on s’identifie avec nos comptes privés pour la promo de l’émission.
En gros, avoir plus de l’interaction des utilisateurs/lecteurs qu’autre chose.
Tout cela pour dire que les jeunes se fient énormément aux likes et aux commentaires pour savoir si oui ou non leur posts seront réellement appréciés de leur réseau d’amis ou voire même du monde entier.
Après si on utilise la version business d’Instagram et Facebook, on peut voir le nombre de personnes qui ont vu la publication, consulté le profil/page en question, cliqué sur le lien (s’il y en a un).
TikTok
Oui, cela fait depuis un long moment que je voulais parler de ce réseau social (enfin… si je peux appeler ceci un réseau social réellement ou non) qui est très fréquenté par les jeunes (10 ans et +) et au niveau politique qui fait pas mal de bruit.
Mon intention est de donner mon point de vue qui est et reste totalement personnelle, après j’entends le point de vue de chacun sur cet outil très prisé.
Ils en parlent dans le documentaire et cela lie beaucoup aux reportages que j’ai vu de jeunes influenceurs (donc de 10 ans, quand je dis jeunes) qui arrivent à monétiser leurs publications via TikTok avec un gros appuis de leurs parents derrière la caméra.
Pour rigoler, je l’ai installé (oui je l’assume, j’ai TikTok depuis le confinement de mars), et on peut voir qu’une grosse partie ce sont des personnes qui font des actions relativement absurdes sans trop réfléchir.
Tellement absurdes qu’on s’amuse avec mon collègue du travail à s’envoyer des vidéos/liens de TikTok sur WhatsApp à longueur de journée.
A un moment donné, c’est juste tellement répétitif que je m’en suis un peu lassé et préféré de passer à autre chose, mais l’application reste sur mon téléphone.
Quand-même, voici une vidéo TikTok qu’on peut retrouver très facilement :
Conclusion
Je vais quand-même essayer de conclure sur un sujet qui me paraît important d’en parler et même que l’école doivent montrer le film aux élèves car cela va vraiment les intéresser et les sensibiliser sur l’utilisation et le fonctionnement des réseaux sociaux.
Voici comme promis le lien du film à retrouver uniquement sur Netflix :
Désolé pour mon côté silencieux, l’inspiration m’est venue tardivement pour écrire l’article du mois de mai.
Vos idées peuvent contribuer au bien du blog 😉
Je reste toujours ouvert sur vos idées et propositions de sujets intéressants à traiter.
Dans le prochain article (qui paraîtra milieu juin, promis), je vais parler de l’utilisation des vidéosconférences pendant le confinement et donc je suis en plein processus de sondage auprès des utilisateurs.
Votre voix me sera très utile, si vous pouvez le remplir.
La durée moyenne de ceux qui ont déjà rempli est de 1 minutes et 30 secones pour le remplissage) ça prendra que très peu de votre temps.
Quels sont les outils simples et efficaces pour booster un site web ?
J’ai pris quelques un de mes sites webs comme des tests labos pour déterminer ce qui me semble efficace à mettre en place, autant bien pour vous écrire cet article que vous augmenter la visibilité et l’efficacité des sites webs que j’ai mis en place.
Google Search Console
Je dois avouer que malgré ce que je dis sur Google concernant leur manière de tracer les données, ils utilisent des outils qui sont très efficaces et simples à mettre en place.
Cet outil permet de booster un site web dans le référencement sur un moteur de recherche.
Comment procéder pour l’ajouter sur son site web ?
Il suffit d’avoir un compte Google, aller sur Search Console, créer un espace pour le site web en question, ajouter le Google site verification dans les Zones DNS de l’hébergeur où est le site web et laisser Google faire le reste du job.
Si je prends l’exemple de johantech.ch, j’ai juste à ajouter la ligne google-site-verification qui m’est fourni après avoir entré mon nom de domaine chez Infomaniak dans une nouvelle entrée DNS en TXT.
J’ai attendu 24 heures pour laisser faire la validation puis quelques semaines voire mois pour que Google commence gentiment à référencer du domaine d’intérêt avec les recherches des utilisateurs.
De là, je peux faire une recherche sur Google juste en tapant johantech, et mon site web se trouve en toute première position dans le moteur de recherche du géant G.
Mon proche à moi l’a testé et c’est scientifiquement prouvé :).
Faire accélérer un site web
A faire dans la seconde qui suit la création du site web
Quand le site web est créé : augmenter la limite de la mémoire et du temps d’exécution des scripts chez l’hébergeur en question et activer Google Page Speed (si cela se présente dans les options avancés).
La différence est très grande que la page prendra deux secondes à se charger entièrement.
Ce qui sera un pur bonheur et cela aidera pour que Google augmente la visibilité du site internet.
Cloudflare, bon outil à prendre ?
Je commence à utiliser Cloudflare sur un de mes sites webs pour tester l’efficacité sur un site web qui contient beaucoup d’animation (donc de Javascript).
On touche à peine sur Enter qu’il a déjà fini de charger la page.
Pour ceux qui ne conaissent pas Cloudflare, il permet d’augmenter l’efficacité dans les chargements de sites internet et de filtrer s’il y a un traffic très important.
On peut le considérer comme un bouclier entre le visiteur et le serveur web.
Ceux qui utilisent la plateforme Discord, Cloudflare est derrière pour éviter un surcharge de traffic et de veiller au bon fonctionnement de la bande-passante.
Ce qui me rend un peu moins fan de Cloudflare, on est obligé de changer les enregistrements des adresses IPs du site internet et que ça ne fonctionne pas avec des sous nom de domaine.
Malgré ce bémol, je suis surpris en bien par cet outil qui pourrait être déployé sur les autres “gros sites internets” que je gère, je verrai sur le long terme s’il reste utile comme outil.
Conclusion
Google Search Console aide au référencement du site web et Cloudflare à booster le traffic si le site web paraît lent à charger.
Volontairement j’ai voulu garder le silence comparé à mes chers collègues blogueurs.
Pour moi, ce n’est pas pertinent d’ajouter une couche supplémentaire dans le flux d’informations qu’on reçoit par jour de la part des médias de manière générale, même si j’ai l’impression que ça s’est calmé depuis quelques jours.
Zoom
Je pense que je n’ai pas réellement besoin de présenter l’application vu qu’elle a plus de 200 millions de téléchargement dans le monde. (10 millions avant le début du confinement)
On a presque tous été sur cette plateforme pour au moins une visioconférence.
Elle est devenu très populaire depuis qu’on fait du télétravail, elle passe devant les autres logiciels de par sa simplicité :
Pas besoin de s’inscrire pour l’utiliser (sauf l’hôte de la réunion),
Partager son écran avec les autres utilisateurs
Faire du contrôle à distance (ce qui peut être une alternative à TeamViewer).
Tellement pratique que les écoles obligatoires vaudoises (sur la décision du Canton) peuvent utiliser cette application pour faire l’enseignement à distance à quelques conditions :
Les élèves ne doivent pas s’inscrire et entrer leur adresse mail privé ;
Inscrire leur vraie identité ;
Ne pas envoyer de données sensibles.
Protection des données
Ce qui m’amène à vous parler du fil rouge de l’article, la protection des données sur Zoom.
Zoom a des défauts et des polémiques, ce qui me rend moyennement fan à l’utiliser contrairement à une autre application (comme Discord par exemple).
Les données sont stockés chez Amazon (en Amérique) et chez Google ce qui rend la traçabilité relativement compliquée.
D’ailleurs, le CEO de Zoom a avoué que les données des utilisateurs sont envoyés et exploités chez Facebook.
Lier Zoom à notre compte Facebook personnel, un bon plan ?
Disons que si la polémique n’avait pas fuité, on pourrait y aller presque les yeux fermés.
Mais, un activiste de Privacy Matters a analysé la politique de confidentialité et il conclut que Zoom informe Facebook chaque connexion/déconnexion, action, partage d’écran de fichiers, … et ce même sans l’avoir lié à un compte Facebook.
Donc ce qui me fait venir au fait qu’il faudrait essayer de contourner Zoom en choisissant une alternative qui pourrait remplacer Zoom.
A-t-on réellement des malwares en désinstallant Zoom ?
J’ai un collègue informaticien qui travaille dans une autre entreprise d’où je suis, il m’a dit que depuis qu’il a entendu les rumeurs sur Zoom il l’a directement désinstallé.
Pour vous dire, je suis sur Windows 10 et n’ait pas remarqué de ralentissements qui m’ont semblé flagrants.
J’ai Malwarebytes et Windows Defender qui ne m’ont pas alerté que Zoom est porteur de malwares ou qu’il est corrompu.
Sans l’avoir désinstallé, Malwarebytes n’a rien trouvé de spécial ni après, quand j’ai désinstallé Zoom (et ce, même après avoir redémarré plusieurs fois la machine).
Les applications alternatives
Si on veut vraiment se rapprocher le plus possible des services Zoom tout en l’hébergeant sur notre propre serveur ou quelque part en localement en Suisse.
La plateforme Meet d‘Infomaniak est l’une des alternatives qui remplacent les services de Zoom : partage d’écran, chat groupé, appels vidéo, appels audio, …
Infomaniak s’est basé sur l’application Jitsi Meet qui est un logiciel open source (sans droit d’auteur) pour proposer ce nouveau service qui est totalement gratuit, sans publicités, sans limite de durée et sans inscription, cool non ?
Est-ce que ceci pourrait être LA solution pour l’enseignement à distance ?
Si on opte pour la solution de Meet Infomaniak, tout est hébergé en Suisse, les visioconférences sont chiffrées et bientôt disponible : l’application mobile permettant de faire des visioconférences depuis un téléphone ou une tablette.
Les entreprises commencent gentiment à se tourner vers la solution Gitsi Meet pour son côté open source et sa puissance.
Pour ceux qui veulent s’amuser, il est aussi possible de l’installer sur un serveur et faire toute la configuration de A à Z.
Conclusion
Zoom à mon sens est un peu le faux bon plan comme solution pour les visiosconférences et la solution alternative serait Gitsi Meet pour ceux qui veulent l’installer sur leur propre serveur ou utiliser Meet Infomaniak pour les utilisateurs finaux.
On est tous de plus en plus soucieux où vont nos données personnelles, les données de nos entreprises.
L’idéal pour nous tous est de consommer localement et d’arriver à contourner les grandes entreprises implantées à l’étranger et qui pourrait potentiellement vendre ou exploiter nos données personnelles sans qu’on le sache.
Infomaniak se distingue des autres hébergeurs par sa transparence et son stockage des données et par ses nouveautés tels que Swiss Backup qui permet de faire une sauvegarde de ses appareils dont les données restent en Suisse ou Swiss Transfer dont il est possible d’envoyer jusqu’à 50GB gratuitement et sans inscription.
Depuis quelques mois, Infomaniak a lancé (en mode bêta) son tout dernier produit : kDrive afin que ses clients donnent un retour sur les améliorations et permettre de lancer ce matin la version finale du produit.
Quelles fonctionnalités permettent le kDrive ?
Sa migration facile
Si vous avez tout stocké chez Dropbox, Google Drive ou encore OneDrive, il est possible de migrer toutes vos données directement sur le kDrive en quelques clics.
Possibilité de télécharger l’application sur ordinateur/tablette/smartphone
Le kDrive se télécharge facilement sur Ordinateur (fixe, portable / Windows, macOS, Linux) que sur tablette ou smartphone idéal lors de déplacements (iOS, Androïd).
Sa puissance et son côté très “user-friendly”
Pour qui ça a été un grand calvaire les documents qui ne sont pas synchronisés lors d’un travail collectif ?
Le kDrive offre une alternative gratuite à la suite Office (Word, Excel, PowerPoint) par OnlyOffice (logiciel open-source) dont il présente les mêmes fonctionalités et la possibilité de télécharger en .docx (pour Word), .xlsx (pour Excel), .pptx (pour PowerPoint).
Avec la puissance d’OnlyOffice chez Infomaniak, on peut commenter, voir ce que les autres utilisateurs écrivent sans devoir se casser la tête.
Il est également possible d’utiliser OnlyOffice depuis un appareil mobile et de modifier son contenu.
L’interface est très simple à utiliser et facile à s’y retrouver.
Possibilité d’avoir l’historique d’un document
Avec le kDrive, il sauvegarde automatiquement les documents et sauvegarde aussi les anciennes versions du même fichier.
Son espace de stockage et rapport qualité/prix imbattable
Un utilisateur peut bénéficier de 2To pour 5.95 CHF par mois alors que pour le même espace de stockage est à 10 CHF par mois pour Google Drive et 12.95 CHF par mois chez Dropbox.
Il existe trois plans différents (qui convient parfaitement autant bien aux particuliers qu’à des PMEs) :
Solo à 5.95 CHF par mois ce qui inclut 2To
Team à 11.95 CHF par mois pour 6 utilisateurs et 3To inclus (dont il est possible d’augmenter l’espace de stockage)
Pro à 7.95 par mois dès 3 utilisateurs et dès 6To (dont il est possible d’augmenter l’espace de stockage)
Ce rapport qualité/prix inclut également un support qui répond aux questions et aux soucis rapidement et efficacement, le stockage des données dans deux datacenters basés sur Genève qui compense à 200% sa consommation de CO2.
Avis personnel du nouveau produit
La synchronisation est nettement plus rapide que sur un autre cloud (Nextcloud compris) et l’interface est très moderne, interactive et très rapide.
La migration depuis Dropbox m’a pris à peine 30 secondes et très facile à faire alors que j’avais une bonne dizaine de Gigas sur l’ancien cloud.
L’application mobile est très utile pour moi quand je n’ai pas mon ordinateur avec moi et prendre quelques notes rapides.
Merci beaucoup Infomaniak pour avoir mis ceci en place !!
Intéressé ?
Vous pouvez tester pendant 30 jours (sans engagement) le kDrive, pour en savoir plus: cliquez ici.