par Johan Crocoll | Déc 7, 2019 | GAFAM
Petite parenthèse, navré pour le très grand silence d’article durant le mois de novembre les idées fusent mais le plus gros défi est de poser mes idées dans un article qui serait pertinent pour les lecteurs.
N’hésitez pas à me proposer vos idées d’articles soit via le petit bonhomme en rouge à droite de votre écrant ou directement par mail à blog@johantech.ch ;), je me ferai un très grand plaisir de vous répondre !
Revenons…
Quand on parle des géants du web s’agit de Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft (GAFAM).
Entre Amazon qui est le leader dans le domaine de l’informatique via le cloud (bien plus grande que HP et Microsoft), Google qui est le plus puissant dans les moteurs de recherches mais pas seulement.
Ces géants qui se spécialise dans d’autres domaines
Reprenons l’exemple de Google sous le nom d’Alphabet qui a créé énormément d’outils tels qu’un agenda en ligne, sa propre boîte mail, des outils pour renforcer son référencement sur Google, …
On peut conclure que Google a des activités très grande que la liste est interminable.
Les utilisateurs finaux (autant les personnes morales que physiques), sont très séduits par la simplicité de l’utilisation et de l’interface très « user-friendly », tellement séduits qui viennent s’inscrire.
Traitement des données, ça se passe comment ?
Ce qui pose problèmes actuellement avec ces procédés, c’est ce que Google exploite réellement en termes de données des utilisateurs.
Récemment, j’ai pu constater que les utilisateurs qui possèdent une adresse mail chez Google, reçoivent non-stop de la publicité pour des chaussures dans leur boîte de réception.
Google essaye de monétiser le service Gmail en envoyant de la publicité directement dans les boîtes mails ?
Telle la question se pose quand voit la façon dont Google analyse nos données pour affiner le contenu.
L’un des objectifs de Google est de créer de plus en plus des profils publicitaires toujours plus précis et détaillés des utilisateurs.
Les assistants vocaux, un gadget ?
J’étais également surpris du fait qu’on peut postuler dans une entreprise via un assistant vocal, « Alexa, aide-moi à trouver un emploi chez McDo. » où on dicte notre prénom, nom de famille, adresse, … pour pouvoir postuler sans bouger d’un millimètre du canapé.
L’idée peut être aussi surprenante qu’un problème technique ;
Surprenante dans le sens qu’un concept comme la postulation dans une entreprise via un assistant vocal peut être assez intéressant à test.
Puis un problème technique parce qu’à l’heure actuelle, les assistants vocaux ont des capacités relativement limitées pour interpréter correctement une diction humaine et le ton de la voix.
Là dans ce cas, je le prendrai pour un gadget.
Je le prendrai également le nain de jardin connecté comme gadget
Peut-on réellement contourner ces services des GAFAM ?
A l’ordinateur
Dans le système physique (ou hardware pour ceux qui préfèrent), pas tellement car les choix de systèmes d’exploitation pour faire fonctionner un ordinateur pour un grand public est soit du Microsoft Windows ou du Apple macOS.
Dans le système virtuel tels qu’un compte chez Microsoft ou chez Apple peut être assez complexes à contourner.
Ils essayent de faire le plus possible qu’avec la machine, un compte soit lié pour proposer encore plus de services en ligne.
Tout ce qui est gratuit se paie forcément à quelque part
Apple est dans un esprit qu’il faut toujours pousser plus loin la sécurité des données, mais est-ce que la firme a une source de financement transparente tels que la fondation Mozilla, Infomaniak, Nextcloud.
En matière de cloud et mails, existe-t-il une alternative ?
Dans les mois qui vont suivre, Infomaniak hébergeur leader en Suisse, se lance comme alternative face aux GAFAM :
- Par la refonte complète de son Webmail collaboratif en une alternative à la suite Gmail (autant dans l’ergonomie de l’interface et la rapidité)
- En lançant son propre Drive avec l’édition collaboratif de documents tel que le cloud Dropbox et OneDrive.
En termes d’écologie, Infomaniak compense à 200% ses émissions de CO2 et utilise uniquement de l’électricité issue d’énergie renouvelable.
par Johan Crocoll | Oct 18, 2019 | GAFAM
McDonald’s a voulu faire un grand pas en avant en sollicitant les assistants vocaux pour trouver de la main d’œuvre pour leurs différents restaurants grâce au McDonalds Apply Thru.
Comment ça se passe ?
Une fois la demande faite, il va poser des questions assez basiques comme le nom, la date de naissance, l’adresse, les domaines d’intérêts et le lieu de travail privilégié.
Lors de l’enregistrement des réponses aux questions, l’assistant recherche si des postes sont à repourvoir le candidat reçoit un message avec un lien pour continuer la postulation sur un portail en ligne.
La fiabilité des assistants vocaux sont à revoir
Ceci serait le scénario parfait pour McDonald’s qui le teste dans huit pays différents dont la France et les USA (la Suisse ne fait pas partie du projet pilote).
Les options sont très restreints sur les assistants vocaux.
En utilisant ce système vocal, plusieurs problèmes se posent;
- une mauvaise interprétation des mots,
- un mauvais orthographe (spécialement des noms et prénoms),
- et pour Amazon, Alexa n’est pas le gadget qui rapporte le plus de chiffre pour le géant du web.
Est-ce plus un gadget ou potentiellement un vrai futur outil ?
D’un point de vue personnel, je trouve ceci vraiment comme un gadget essentiellement sur sa fiabilité, le fait qu’on ne voit pas ce qu’interprète l’assistant et le fait que l’intérêt est très minime.
Des statistiques le prouvent car seul 0.002% des courses Uber (dans sa globalité) est commandée via Alexa qui propose déjà l’option sur ses assistants.
La tentation n’est pas grande chez les consommateurs pour la raison qu’il n’y a pas d’écran et qu’une commande se fait en vocal.
Une vidéo promotionnelle pour la fonctionnalité
Le fait qu’ils ne mettent pas plus en avant la fonctionnalité comme si c’était une mauvaise idée, ça peut surprendre.
Et si…
…on pourrait commander à manger via Uber Eats en commande vocal, est-ce que les enceintes pourront être à la performance ?
Quel sera le futur des assistants vocaux ?
par Johan Crocoll | Sep 23, 2019 | Bon à Savoir, GAFAM
L’idée de cet article m’est venue quand un de mes collègues d’une association locale m’a demandé si je connaissais une alternative à Dashlane pour stocker des mot de passes.
Je préfère d’y préciser car on ne sait jamais…
À nos jours, on a beaucoup de comptes ouverts et on a sûrement tous entendu quelqu’un assez bien rôdé en informatique dire qu’il ne faut pas mettre le même mot de passe partout.
Ne pas simplement mettre le nom de son animal de compagnie suivi de la date de naissance pour les réseaux sociaux ainsi que pour ouvrir la session de son propre ordinateur.
C’est cool, plusieurs solutions existent !
Les gestionnaires de mot de passes
Dashlane, 1Passwords, StickyPassword, Kepper, LastPass, … et j’en passe.
Pour tout vous dire, je ne fais strictement pas confiance à ces gestionnaires car pour le client final qui se lance, un peu dans le vide (pour certains), ne sait pas si ces données sensibles sont stockés localement (sur l’ordinateur).
Ou sur un serveur (qui peut se trouver au milieu de l’Océan Atlantique, qui sait…) ou encore qui est sous-traité chez la GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft).
Le principe?
Donc on entre une première fois le mot de passe sur un site qui demande un login (disons, par exemple, que c’est pour aller sur Facebook).
À l’avenir le gestionnaire de mot de passe va reconnaître le site (Facebook) et va suggérer qu’il entre automatiquement les accès (après avoir validé via l’empreinte digitale ou un code).
Certains vont même plus loin que de simplement suggérer un mot de passe, il est possible d’enregistrer sa carte VISA ou MasterCard.
Enregistrer le mot de passe dans son navigateur
C’est assez fréquent que les navigateurs Webs demandent si on veut qu’il enregistre l’identifiant et le mot de passe et qu’on revient sur le même site après s’être déconnecté il suggère un login pré-rempli.
Là, également, pour un client final c’est pas clair si le mot de passe est enregistré localement (donc sur l’ordinateur), ou dans un datacenter (qui est potentiellement sous-traité par la GAFAM).
Comme par exemple, Apple, si on utilise deux appareils qui sont liés au même compte, comme par magie on retrouve tous les logins pré-remplis, alors c’est pratique, mais…
… la sécurité
Il se trouve que vous avez oublié de changer votre mot de passe qui a été compromis sur votre Mac, et quelqu’un arrive à y accéder.
A partir du moment où il est en possession du mot de passe de la session, il peut retrouver tout ce qu’il veut en moins de 10 secondes.
KeyChain Access chez Apple (qui est l’endroit où tous les mots de passes sont enregistrés) et qu’on clique sur “Montrer le mot de passe” il demande d’entrer le mot de passe de la session et il a le code qui est devant ses yeux.
C’est moche l’informatique… , mais conclusion ?
Non, clairement pas, car selon moi les “leaders” des gestionnaires de mot de passes ne sont pas assez transparents sur le stockage des accès (Sous traitement? Localement? Ou sur leurs propres serveurs?)
Pour moi, le plus simple c’est de faire un tableau ou plusieurs tableaux Excel avec tous les accès et les différents mot de passes qui soit bien protégé (cloud interne, éviter Dropbox ou Google Drive dans la mesure du possible).
Pour les plus avancés, ils peuvent utiliser Access (aussi dans la suite d’Office).
Moi, les plus fidèles du blog le savent, je fais confiance aveuglement à Infomaniak ou j’ai la majorité de ma vie informatique chez eux.
D’ailleurs, je fais un peu un avant-goût, la rentrée 2019 s’annonce très prometteuse pour eux :).
par Johan Crocoll | Sep 11, 2019 | Apple, GAFAM
Avant-propos
C’était une action volontaire pour avoir été mis sous silence la semaine dernière, j’attendais cette semaine pour parler du Keynote.
Introduction
Bon je dois être honnête que je ne l’ai pas du tout regardé, même s’il était noté dans mon agenda j’avais juste eu le réflexe de regarder sur le site d’Apple.
Ceci est totalement un point de vue personnel d’un utilisateur qui possède la gamme plus ou moins complète d’Apple (iPhone, Apple Watch, Mac, Apple TV).
La onzième génération des iPhones
iPhone 11 Pro
Premier problème, l’ergonomie physique de l’iPhone
Le physique de l’appareil m’a choqué à un plus haut point;
La disposition des trois caméras et le logo d’Apple mis bien au centre, je ne trouve ça pas franchement beau.
Performance des 3 objectifs
L’objectif qui prend les photos en grand angle c’est la vraie grande nouveauté qui est apparu sur ce nouvel iPhone 11 Pro.
Il a perdu un peu en ouverture (plus le ƒ est proche de 1 plus l’ouverture est grande) de l’objectif en passant à ƒ 2,0 (au lieu des ƒ 2,4 qui était sur l’iPhone XS).
Et les photos dites “normales” (ou Wide chez Apple) est à une ouverture à ƒ 1.8.
Les ouvertures ressemblent plus ou moins à ce qu’on pouvait trouver depuis l’iPhone X.
L’écran
Mise appart que c’est du Super Retina XDR (ce qui permet de rendre les couleurs plus dynamiques et vivantes), la taille des écrans restent les mêmes et l’interface est aussi identique que depuis l’iPhone X.
Poids du téléphone
A ma grande surprise, le iPhone 11 Pro (/max) est plus lourd et légèrement plus gros que l’iPhone XS (/max).
En conclusion, est-ce que ça vaut la peine ?
En tout cas, personnellement je n’irai pas directement en acheter un car les spécificités sont (presque) identique qu’à l’iPhone XS.
De plus qu’Apple n’a mis qu’en avant la photo et non les performances réelles du téléphone.
Apple Watch Series 5
Passons à l’Apple Watch Series 5, il est identique qu’à la Series 4.
Juste peut-être le software qui est différent (l’écran qui reste allumé même avec le poignet baissé) et plus de cadrans.
Sinon, ils ont sortis les version Series Edition (qui est nettement plus cher) mais on a la finition en céramique par exemple.
Niveau taille et bordure de l’écran, c’est exactement la même chose, vraiment rien à dire de plus.
En grosse conclusion
Rien n’est vraiment impressionnant pour cette rentrée chez Apple, j’ai déjà entendu quelques échos qu’en 2020 la rentrée sera beaucoup meilleure.
Mais avec le recul, est-ce que Apple n’est pas entrain de “récupérer” les anciens modèles pour faire croire que c’est une grosse nouveauté ?
Je dis ça surtout quand j’ai vu la sortie de la Apple Watch qui m’a fait rire car c’est vraiment à deux gouttes d’eau à la Series 4.
par Johan Crocoll | Août 28, 2019 | Éducation, GAFAM, Social
Depuis lundi, toutes les écoles obligatoires du canton doivent suivre la nouvelle directive de la DGEO (Direction Générale de l’Enseignement Obligatoire) à savoir que les téléphones portables des élèves doivent être éteints et rangés dans leurs sacs.
Ce qui inclut la récréation (pause du matin) et la pause de midi, sauf dans des cas exceptionnels comme une recherche sur la demande de l’enseignant.
Projet pilote concluante pour le canton
L’année dernière 10 établissements ont été soumis à un projet pilote sur l’éducation numérique.
À savoir, l’utilisation portable durant le temps scolaire (durant la pause matinale seulement) une majorité de ces 10 établissements avaient déjà interdit le smartphone durant le temps scolaire et encore pour certains la pause de midi.
Entre autre, dès que les élèves sont sous la responsabilité de leur établissement scolaire le téléphone portable n’est plus toléré.
Durant les camps de ski, vu qu’il s’agit d’un temps scolaire et sous la responsabilité de l’école, est-ce toléré ?
J’en avais également parlé que durant ce pilote, la DGEO n’avait pas assez poussé la réflexion sur l’interdiction.
Suite à ce point soulevé officiellement pour la rentrée 2019-2020, il sera interdit ou restreint à des heures précises.
Statistiquement les jeunes passent deux à trois fois plus de temps sur des objets numériques que leurs parents
Selon la Commission fédérale pour l’enfance et la jeunesse, un jeune (16-25 ans) passe en moyenne quatre heures par jour sur leur téléphone durant leur temps libre (hors-scolaire)
Ceci est bel et bien une moyenne et selon la Commission, 25% des jeunes peuvent y passer plus de cinq heures par jour.
Pourquoi équiper ses enfants aussi tôt d’un smartphone ?
En temps normale, il s’agit des parents qui les équipe d’un téléphone portable, pour par exemple être sûr que tout va bien.
Un parent veut toujours avoir “une certaine rassurance” que leur/leurs enfant/-s va/vont bien comme en ayant leur numéro de téléphone dans leurs répertoires de téléphone.
Et encore plus quand le jeune va à l’école tout seul, il a besoin de savoir ce qu’il se passe.
Est-ce que c’est une bonne chose qu’un enfant ait un abonnement illimité ?
Avant que j’ai eu mon abonnement illimité, j’avais un compte prépayé et donc je utilisais rarement mon téléphone car il m’avérait pas très utile.
Dès lors que j’ai reçu mon contrat illimité (téléphonie, SMS et données) partout en suisse, tout est parti de là où je pouvais facilement avoir une quarantaine de discussions qui tournent quotidiennement.
Ça paraît excessif ?
Pas du tout, c’est comme si on annonçait à tout le monde qu’on est non-stop disponible par message.
Donc selon moi, ça ne sert pas à grand chose avant les 14-15 ans (ce qui équivaut à la dernière année de l’école obligatoire en temps normal) car avant cela ne va pas arrêter de les encourager de regarder des vidéos, de textoter, …
Conclusion
Mais d’un autre côté, je ne comprends pas tellement le sens d’interdire pendant la pause de midi, est-ce que cela va les encourager à y consulter plus souvent?
Et par le fait d’interdire durant toute une journée scolaire, à 90% des chances leur premier réflexe en sortant du bâtiment c’est d’allumer leur téléphone et regarder “ce qu’ils ont loupé durant la journée”.
par Johan Crocoll | Août 19, 2019 | Apple, GAFAM
Avant-propos (ou hors-sujet)
Tel est une question que je vais développer après ces quelques lignes de mon grand silence depuis plus d’un mois.
Rien de grave je très vais bien :).
J’ai quelques nouveaux défis professionnels en vues qui vont occuper un espace important sur mon temps pour l’année à venir.
Comme je l’avais évoqué en juin, je vais réduire à un voire deux articles par semaines pour plusieurs raisons :
- Un articles quotidien, c’est assez dur (des fois) de trouver la thématique sans être trop répétitif et/ou trouver ce dernier pertinent pour créer des vues supplémentaires,
- Les fautres ortografes incécantes é sintacquse* que je fais à cause par ce manque de pertinence (faut que je compte facilement 45 minutes/1 heure pour en faire un)
*: Désolé pour ces quelques mots caricaturales mais ça mérite le coup d’être soulevé…
Je voulais remercier beaucoup l’un de mes collègues-blogueurs (Mister Cuk), d’avoir pris la peine de m’écrire pour me rendre attentif de ces quelques points.
Parenthèse close mais qui mérite une mention :).
Dis Siri, quel temps fera-t-il demain ?
C’est une question qui revient assez fréquemment pour les assistants vocaux (Alexa, Siri, Assistant Google, Cortana, …).
Pendant ce moment très informatif et informatique, on dirait une conversation entre deux personnes ce qui semble le plus banal.
Mais derrière avez-vous pensé…
Juste après cette question Siri active la localisation de l’appareil pour “donner un résultat précis”.
Il s’agit bien d’une demande volontaire de l’utilisateur.
Mais encore derrière d’autres algorithmes se mettent en place et permettent d’affiner les recherches sur Google par exemple.
Mais quand ça devient involontaire…
Je ne sais plus si j’avais déjà raconté sur le blog qu’une fois;
Seulement deux semaines après avoir reçu mon nouvel iPhone en février, j’étais en entretien avec des conseillers de ma commune (oui je suis engagé dans la vie civique).
Et donc il était sur la table,
Puis, tout d’un coup, Siri s’active alors que je ne regardais ni mon téléphone ni dans mes mains et parle au milieu de l’entretien, moment très gênant pour moi et pour les autres…
Siri est-il si sensible que ça ?
Dernièrement j’ai lu un article sorti dans Le Matin, que Siri peut s’activer alors qu’on ferme notre veste (à fermeture zip) alors qu’on parle à une autre personne et donc écouter potentiellement la conversation.
1% des conversations avec Siri sont utilisés pour vérifier la qualité et la pertinence de l’assistant vocal et donc de l’améliorer dans ses interventions.
Dans ces 1% il pourrait donc avoir 4 fois sur 10 qu’il s’active de manière soudaine et involontairement à l’utilisateur et donc écouter des conversations tels qu’entre un patient et un médecin ou lors des communications restés confidentiels.
Quel serait le remède ?
Contrairement à Google et Amazon où on peut juste refuser l’accès au micro, Apple c’est simple: soit il est activé ou pas.
J’en tire des leçons, il est désactivé sur mon téléphone.
Mais je n’y arrive pas encore à m’en détacher de ma montre, ça peut être pratique dans certaines situations.
Et vous, avez-vous gardé votre assistant activé sur vos objets connectés ?