Coup de coeur d’un film-documentaire : “Derrière nos écrans de fumée” sur Netflix

Coup de coeur d’un film-documentaire : “Derrière nos écrans de fumée” sur Netflix

Avant-propos

Je tiens à préciser que ce film se trouve uniquement sur Netflix mais il en vaut le détour, je mets le lien (pour ceux qui ont Netflix) tout en bas de l’article.

Il a été réalisé en début d’année 2020, donc fait très récemment et il regroupe une partie documentaire avec des interviews d’anciens concepteurs de Google, Facebook, Pinterest, Instagram (avant son rachat par Facebook), et des militants contre les réseaux sociaux et le traitement des données.

Il regroupe également une grande partie des sujets d’actualité en 2020.

Quand je dis concepteurs, ce sont ceux qui ont conçus la plateforme Gmail (niveau présentation et en backend, le développement), les likes sur Facebook, les scrolls à l’infini sur les réseaux sociaux.

Et il regroupe aussi une partie fiction qui représente de ce qui a été dit lors des interviews pour bien faire comprendre l’illustration du quotidien d’un usager lambda comme vous et moi avec les réseaux sociaux.

Trouver le juste milieu entre vous expliquer le documentaire sans trop aller dans les détails, parce qu’il y a beaucoup à raconter ni de vous gâcher certains passages est relativement ambitieux.

Voici la bande-annonce officielle :

Maintenant, les spécialistes disent que ce n’est pas rattrapable

On parle de ceux qui ont conçu une grosse partie des réseaux sociaux et donc sont maintenant pères-mères de famille avec des enfants.

Ces personnes là, interdisent leurs enfants d’aller sur les réseaux sociaux car l’histoire qui est derrière tout cela est juste inimaginable à y croire et ce n’est pas banal comme décision à prendre.

On a tous reçu une fois au moins sur n’importe quelle plateforme, une notification avec des recommandations pour aller soit voir une publication ou une vidéo.

Le fait de faire ce clic, tout un algorithme se met en place pour vous en recommander d’autres tout en calculant le nombre de fois que vous avez déverouillé votre téléphone, êtes allés sur la plateforme et le temps que vous passez dessus.

Plus vous cliquez sur ces recommandations, plus il va affiner sa recherche avec vos centres d’intérêts.

Rechercher un produit peut vite être submergé de bannières de publicités

Pendant le confinement, j’ai cherché une nouvelle machine à café pour la maison donc on va sur les gros sites en Suisse tels que galaxus.ch, manor.ch et j’en passe… pour trouver celui au meilleur prix.

Car fallait pas oublier, les magasins qui vendent ce genre de produits, étaient fermés suites aux directives du Conseil Fédéral de mars.

Trouvant ma machine à café j’ai pu remarquer que les minutes qui ont suivies, mon téléphone était innondé de pubs pour la machine à café que je voulais dès que j’allais sur Facebook, YouTube, Instagram, …

Tout cela pour dire qu’une simple recherche sur un site totalement basique peut vite nous submerger avec des publicités de ce style.

Les partages des posts

Je vais prendre un sujet où (selon moi) on entend tout et rien en même temps : la situation sanitaire actuelle.

On n’a jamais, dans l’histoire des réseaux sociaux, autant médiatisé et repartagé des infos (vraies et fausses) sur le COVID-19.

Les médias Suisses ont bel et bien compris ce qui circule sur les réseaux sociaux et vu qu’ils ont le petit label bleu certifiant qu’il s’agit bien d’une page officielle rajoute une couche en mettant des gros titres qui font bien réagir.

J’ai pu le remarquer quand l’OFSP (l’Office Fédéral de la Santé Publique) ont sorti les chiffres des nouveaux cas positifs durant la période mai-août (la période avant qu’ils rendaient accessibles les tests PCR gratuit) les médias n’ont pas dit “La suisse compte XXX cas lors des derniers 24h” mais plutôt “La Suisse est à un taux de contamination de XX% pour 100’000 habitants” ce qui faisait bel et bien des suppositions.

Et même maintenant quand ils mentionnent les 72 dernières heures, les médias s’empressent pour dire les gros chiffres mais pas la durée dans leurs titres.

Tout cela pour dire, qu’un simple clic une publication peut prendre beaucoup d’ampleur en très peu de temps, d’ailleurs ils en parlent d’un sujet en particulier qui n’est pas lié au COVID mais l’idée et l’intention est la même.

Les jeunes accros aux J’aimes et TikTok

Ce qui m’a particulièrement interpellé ce sont comment, nous, les jeunes d’aujourd’hui qui sont bassinés dans ce monde des réseaux sociaux arrivent à voir qu’on est dans une telle addiction.

Petite anecdote du blog et personnelle en même temps, pour moi Facebook, Twitter, Instagram, … ce sont une majeure partie juste mes outils de travail pour mes activités comme johantech.ch ou mes autres sites que je veux mettre en avant.

Bien évidemment, que je suis heureux de voir des utilisateurs qui likent mes publications et qui les commentent que juste voir qu’une partie a juste vu mon post et ont continué à scroller sur leur fil d’actualité.

Et aussi depuis le début de cette année scolaire, la radio avec quoi on publie une story pour voter sur un sujet de débat qu’on parle lors du talk-show le soir même et aussi une photo où on s’identifie avec nos comptes privés pour la promo de l’émission.

En gros, avoir plus de l’interaction des utilisateurs/lecteurs qu’autre chose.

Tout cela pour dire que les jeunes se fient énormément aux likes et aux commentaires pour savoir si oui ou non leur posts seront réellement appréciés de leur réseau d’amis ou voire même du monde entier.

Après si on utilise la version business d’Instagram et Facebook, on peut voir le nombre de personnes qui ont vu la publication, consulté le profil/page en question, cliqué sur le lien (s’il y en a un).

TikTok

Oui, cela fait depuis un long moment que je voulais parler de ce réseau social (enfin… si je peux appeler ceci un réseau social réellement ou non) qui est très fréquenté par les jeunes (10 ans et +) et au niveau politique qui fait pas mal de bruit.

Mon intention est de donner mon point de vue qui est et reste totalement personnelle, après j’entends le point de vue de chacun sur cet outil très prisé.

Ils en parlent dans le documentaire et cela lie beaucoup aux reportages que j’ai vu de jeunes influenceurs (donc de 10 ans, quand je dis jeunes) qui arrivent à monétiser leurs publications via TikTok avec un gros appuis de leurs parents derrière la caméra.

Pour rigoler, je l’ai installé (oui je l’assume, j’ai TikTok depuis le confinement de mars), et on peut voir qu’une grosse partie ce sont des personnes qui font des actions relativement absurdes sans trop réfléchir.

Tellement absurdes qu’on s’amuse avec mon collègue du travail à s’envoyer des vidéos/liens de TikTok sur WhatsApp à longueur de journée.

A un moment donné, c’est juste tellement répétitif que je m’en suis un peu lassé et préféré de passer à autre chose, mais l’application reste sur mon téléphone.

Quand-même, voici une vidéo TikTok qu’on peut retrouver très facilement :

Conclusion

Je vais quand-même essayer de conclure sur un sujet qui me paraît important d’en parler et même que l’école doivent montrer le film aux élèves car cela va vraiment les intéresser et les sensibiliser sur l’utilisation et le fonctionnement des réseaux sociaux.

Voici comme promis le lien du film à retrouver uniquement sur Netflix :

Dans l’éducation numérique, quel est notre rôle ?

Dans l’éducation numérique, quel est notre rôle ?

J’ai eu la chance de pouvoir venir participer à la session cantonale (vaudoise) des jeunes durant le week-end dernier.

Donc j’ai pris éducation numérique

On a eu un expert, le secrétaire adjoint de la formation, de la jeunesse et de la culture de l’Etat de Vaud (qui est, pour résumer, le second bras droit de la conseillère d’Etat.).

J’y reviendrai un peu plus bas dans l’article car il y a plusieurs choses qui m’ont paru assez flagrant et intéressant dans ce qu’il nous présente.

Ce que j’entends dans “quel est notre rôle ?” c’est plus “qu’est-ce qu’il faut ajouter et qui doit le faire ?”.

Donc, on était une dizaine à avoir pris ce thème et on a débattu sur plusieurs points.

Qu’est-ce qu’on entend par Éducation numérique?

De plus en plus d’enfants en bas âge utilisent un téléphone

Plusieurs ont dit qu’ils étaient surpris qu’à l’âge de 10 ans ils possèdent un iPhone X, donc un objet de plus de 1’000.-.

Chose que je ne fais plus du tout attention car on a tous adopté le même geste quand on a rien à faire ou quand on s’ennuie: se connecter sur les réseaux sociaux et défiler vers les milliers de publications.

On se fait manipuler par les géants du web

Dans le jargon, on l’appelle soit la GAFA ou la GAFAM, ce qui regroupe:

Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, après chacun estime si la firme à fenêtres doit être incluse (ou non…).

Il faut savoir que chaque publication sponsorisée rapporte de l’argent, et leur but est de nous faire passer plus de temps sur les réseaux sociaux.

Une double-vie entre la réalité et les réseaux sociaux

C’est ce qui arrive de plus en plus chez les jeunes et qui inquiète de plus en plus les parents.

On ne montre que le meilleur de nous-même sur les réseaux sociaux et jamais la face cachée.

On est tous comme ça.

L’intervention du secrétaire général adjoint de la formation, de la culture et de la jeunesse

Il a commencé à mentionner que la conseillère d’Etat, Cesla Amarelle, a mis en place un projet pilote d’éducation numérique dans dix établissements sur une durée de 5 ans.

Il y aura quelques termes que je vais utiliser:

  • 1P à 6P ce qui représente l’école primaire en Suisse
  • 7P et 8P ce qui représente l’année de transition (secondaire 1)
  • 9S à 11S ce qui représente les dernières années de l’école obligatoire (secondaire 2)

Ce qui comprend:

  • Les sciences informatiques (avec le robot Thymio par exemple) comment le programmer.
  • L’utilisation des outils technologique (comme un téléphone portable, une tablette ou encore un ordinateur).
  • L’utilisation des médias, les réseaux sociaux, quel comportement à adopter.
  • Et le dernier qui touche principalement les 7P à 11S, l’interdiction des téléphones portables lors des cours, des pauses et des récréations.

Cette année ce sont les 1 et 2P qui teste ces cours sur l’éducation numérique, l’année prochaine les 3 et 4P, l’an d’après les 5 et 6P, jusqu’à la 11S.

Une clarté pas assez poussée

J’avais pris l’occasion de lui dire que mon école fait partie de ce projet pilote et que pour moi ce n’était pas très clair pour les élèves lors des évènements spéciaux (camps, sorties, voyages d’études, …) si c’est réellement interdit l’utilisation du téléphone.

Est-ce qu’il s’agit de la direction des établissements du projet pilote qui prend position?

Une directive exceptionnelle du canton?

Réaction de sa part: il était gêné et surpris de ma question et il a dit qu’ils n’avaient pas poussé la réflexion jusqu’aux camps et sorties spéciaux et qu’il allait en parler.

Selon lui, je lui ai posé une colle!

Je me suis permis de lui montrer une circulaire pour un camp de 9S qui va bientôt se dérouler dans l’école, et il m’a dit qu’il va remonter la question.

Qui dit projet, dit matériel qui tient le coup !

C’est une réflexion du canton, qui touche l’infrastructure qu’autant bien la santé des élèves.

Une étude scientifique prouve qu’un appareil qui est proche d’une borne Wi-Fi aura moins besoin envoyer et recevoir des ondes que s’il est à longue distance et qu’il s’agit d’un réseau puissant qui envoie des ondes très fortes.

Ce que recommande le canton, c’est d’installer une borne Wi-Fi dans chaque classe et de le régler à une fréquence très faible.

Il faut savoir que quand il s’agit de matériel informatique fixe (ordi fixe, bornes Wi-Fi, tableaux interactifs, …) c’est à la charge de la commune et le mobile (ordi portable, tablettes, …) au canton.

Raison pourquoi l’Etat de Vaud achète du matériel venant d’Apple, c’est pour sa durabilité et pour l’ergonomie (simple à faire apprendre aux élèves).

L’aspect de la communication

Je lui ai parlé de l’aspect de la communication entre les profs et les élèves, les profs et les parents et entre les élèves.

Malgré les aspects légaux de WhatsApp, où c’est interdit en dessous de 16 ans, le canton essaye de trouver une alternative à cette application.

Le canton de Vaud, veut utiliser que du Made in Switzerland pour faire court.

Donc, quand un parent utilise une adresse Gmail pour entrer en communication à un enseignant, c’est une pente risquée.

Car on ne sait où sont stockés les données, ce qui peut poser un problème pour un futur élève qui cherche une place d’apprentissage.

Exemple concret, un enseignant envoie à un parent qui possède une adresse Gmail le tableau de notes d’un élève, ce document reste stocké chez Google dans réellement savoir que la firme peut la reprendre derrière et l’exploiter comme elle le veut.

Utiliser Slack, est une bonne idée comme alternative à WhatsApp, mais c’est stocké chez Amazon donc on l’enlève de la liste.

Sans oublier que certains élèves peuvent avoir quelques soucis dans le bien-vivre et la cohésion entre-eux, c’est une deuxième pente risquée.

Après presque six mois du projet pilote, quel est le bilan ?

La réponse du secrétaire adjoint est assez vague, pour lui, il a reçu des réponses positives des établissements du projet pilote.

Leur objectif est d’étendre ce projet dans les gymnases et dans les écoles professionnelles.

Pour en savoir plus

–> Communiqué de la DFJC

Quel est notre rôle ?

Pour vraiment raccourcir ce qui a été écrit, des directives sont en cours de mise en place en espérant d’avoir des résultats concluants sur les élèves.

Je pense que notre rôle, enfin, surtout des plus grands et des parents c’est d’accompagner les plus petits dans cette évolution très rapide

Pourquoi on se met à marcher quand on est au téléphone?

Pourquoi on se met à marcher quand on est au téléphone?

Aujourd’hui je voudrais faire une spéciale dédicace au support d’Infomaniak car certains d’entre vous le font lorsque vous êtes en call ;).

Je sais, ça rentre au trois-quarts de ce que je traite sur ce blog, mais j’ai trouvé l’info drôle.

C’est un réflexe, non mais allô quoi!

C’en est un qui nous touche tous, dès qu’on est au téléphone, hop, on commence à marcher.

En rond, zigzag entre les bureaux de nos chères et chers collègues, en tournant sur soi-même.

Ce n’est pas si caricatural que l’on le pense…

Il y a trois raisons

– À évacuer une charge émotionnel

Quand on est dans une situation qui nous met mal à l’aise, le stress, …

À savoir que si on marche énormément lorsqu’on est au téléphone, c’est sûrement que le cerveau est dans une surcharge par rapport à nos connaissance et que le corps a besoin d’évacuer cette surcharge qui passe, par exemple, par les jambes.

Plus on est instable par rapport à une situation et/ou une conversation au téléphone, plus on marche!

Après, ce n’est pas le fait qu’on est mal à l’aise d’une situation qu’on se met à marcher…

– À augmenter son attention

Le fait de marcher et d’être au téléphone, ça réveille le cerveau, selon un professeur.

– À imiter son interlocuteur

Totalement inconsciemment, des scientifiques ont détecté que l’interlocuteur pourrait aussi commencer à se déplacer en même temps que celui qui l’appelle.

Ce sont des actions qui sont certes mimétismes

Mais qui surtout héréditaire chez nous tous.

J’ai l’impression de partir sur le thème de la médecine et du scientifique…

Des amandes peuvent tomber pour ceux qui ont leur nez sur un smartphone

Une ville (Sassari) en France a décidé de mettre en place que si un piéton traverse, par exemple, la route avec son smartphone allumé, il peut recevoir 22 euros d’amande.

Un peu de prévention

La ville compte plus de 130’000 habitants et un millier d’accidents de la route est enregistré annuellement.

21% de ces accident proviennent des piétons qui ont leur téléphone collés lorsqu’il ne font pas attention en traversant la route par exemple.

Pourquoi pas en Suisse?

Nous fêtons les 30 ans du Web

Faut savoir que plus de 75% des Suisses utilisent Internet pour s’informer et le reste, pour se divertir, dont 49% venant des jeunes (16-24 ans) qui sont nés dans cette société où le monde virtuel est né.

C’est Cisco qui a mené ce sondage au début du mois de mars 2019.

Facilité à l’accès pour les emplois

On connaît tous, orientation.ch, jobs.ch, jobup.ch, … pour se trouver un travail ou une place d’apprentissage.

Aussi bien chez les employeurs, avec les nouvelles solutions dont le cloud qui bouleverse les entreprises à se doter de plus en plus aux derniers serveurs, NAS Synology, …

D’ailleurs, c’est tellement efficace d’en avoir accès que je suis tellement convaincu de l’utiliser, c’est trop pratique.

Ce qui est très avantageux et pratique, mais d’un autre côté on va moins facilement au contact physique avec les futurs patrons.

La découverte du web, c’est nous!

Les suisses par le CERN, qui l’a appelé World Wide Web, d’où l’origine des www avant un nom de domaine.

Petit à petit, les infos sur le Web se répandait dans le monde de manière plus facile et s’est ouvert les commerces virtuels et sociale.

Depuis l’arrivée de Facebook cette ouverture s’est accélérée à telle point que Microsoft, convaincu, voulait le racheter.

Le côté positif

Oui, on le sait tous, mais on oublie très vite le côté obscur qui permet aussi de faire tourner des commerces pas destinés pour tous.

Tout est facile à portée de main; là, je mentionnais les infos, les offres d’emplois ou encore les réseaux sociaux.

Ça peut commencer très tôt

J’avais vu un reportage que la RTS avait rediffusé et qui reste seulement pendant quelques jours sur leur plateforme, sur les jeunes face à des sites pas destinés à leur âge.

Les témoignages des personnes sont très forts, j’étais surpris que ça commence hyper tôt et que ça va aussi loin.

Malheureusement, il y a un réel économie qui tourne derrière, plus on reste sur ces sites, plus ces sites gagnent de l’argent.

Et ils sont tellement bien référencés sur les moteurs de recherches que l’on ne peut pas imaginer.

Allez le regarder, ça vaut la peine et il est disponible que seulement pendant quelques jours: vidéo. (Elle dure 55 minutes, mais ça vaut la peine.)


Nos cerveaux se modifierait à cause des écrans.

C’est selon une étude qui démontre que si très jeune on passe énormément de temps sur les écrans, nos cerveaux seraient modifiés.

Malheureusement, un enfant peut passer jusqu’à 7 heures d’écrans et ceci peut engendrer une modification du cerveau.

Ça m’a fait penser d’un reportage que j’avais vu sur France 2, un enfant (plus ou moins 5 ans) qui prend et va comme un grand sur YouTube, ça peut faire peur.

N’oublions pas que la vigilance doit présente, il suffit que l’enfant tape une lettre d’à côté et il peut tomber sur d’autres vidéos non-voulues.

Bref, revenons…

L’hormone qui nous fait toujours envie de regarder notre téléphone, consulter non-stop WhatsApp, c’est de la dopamine.

Je cherchais le mot.

Cette addiction peut être arrêtée grâce à prendre des distances par rapport aux question;

La “règle” du 3, 6, 9, 12;

Pas avant 3 ans la télévision;

Pas avant 6 ans une console personnelle;

Pas avant 9 ans l’accès à Internet;

Pas avant 12 ans être sur les réseaux sociaux.

Malgré à cause de la RGPD, certains réseaux sociaux ne sont “pas autorisés” avant 16 ans, comme WhatsApp.

L’air comme ça, ça peut faire peur, mais ça nuit moins au développement de l’enfant.

Je ne raconte pas n’importe quoi, des études ont été faites dessus.

Toujours dans le fameux reportage de France 2, l’enfant de 5 ans ne se reconnaissait pas quand on l’appelle par son prénom.

La mère (avec l’aide du docteur) ne sortait plus son téléphone pour son petit.

Ce dernier était plus calme et centré dans ses activités, seulement deux jours après pendant “un détox”.

Donc, gardons à l’esprit de la règle 3, 6, 9. 12 (multiple de trois, facile à s’en souvenir…).

Facebook: attention!

Facebook: attention!

Avant-tout: désolé pour samedi dernier, j’ai cru que j’avais planifié quelque chose pour vous, mais je me suis trompé. Désolé, ça arrive :).

Pas souvent, mais ça arrive…

Ça a largement fait les unes dans les médias…

Cette fameuse attaque envers plus de 50 millions de personnes.

Comme beaucoup de monde, j’au reçu une notification de Facebook lors de ma dernière connexion.

Sauf que…

J’avais du me reconnecter sur Facebook, chose que je n’avais pas dû faire avant.

Sehr komisch…

Mais je me suis fait quelques questionnements;

Est-ce que le hacker a pu entrer sur mon compte?

Sur Messenger?

D’ailleurs, cette app ne devrait pas exister, je m’en sers extrêmement peu et juste totalement inutile.

D’ailleurs, j’avais remarqué que Facebook l’utilisait comme un endroit sponsorisé (donc en gros donner beaucoup d’argent à ce réseau social pour qu’ils mettent en valeur l’activité.

Je ne savais pas que dorénavant ils le font.

Bon pour le peu que j’y vais dessus, ça me sert pas à grand chose.

Bref, petite anecdote:

Y a pas longtemps, une amie avec qui je n’avais pas parlé depuis plus de deux ans m’envoie un message “Salut comment ça va?”.

Surpris, je lui ai répondu.

Puis le surlendemain (oulaaaa, je suis trop formel…) elle m’a envoyé un message en me disant que ces hackers ont pris possession de son compte.

J’avoue que je n’avais pas fait attention de la discussion.

Par contre, après il y avait quelques indices qui me paraissaient un peu spécial…

Comme le fait qu’on me dit: “dis moi est ce que t’es disponible pour deux minutes svp?”.

Je vous réécris le message tel quel.

Le fait que le message était dans le tutoiement et qu’à la fin il y a un svp qui s’incruste, c’est bizarre.

Mais je n’avais pas porté la chose plus loin que ça.

Enfin bon…

Ce que je conseille si une nouvelle attaque réapparait, faut pas donner une adresse mail (surtout ceux qui finissent par @gmail.com ou autre providers connus qui peut être relativement simple à pirater, comme Facebook.).

Après que Facebook ait pris des mesures, choses qui ne s’était pas passé avant.

Jusqu’à aller porter plainte contre “inconnu”.

Quel serait la suite?