Rétrospective 2020

Rétrospective 2020

Avant-propos

La rétrospective de cette année se fait en sans oublier l’évidence qui nous a majoritairement impacté nos vies depuis le mois de mars.

Je ne vais pas prendre le rôle des journalistes et de rajouter une couche inutile, mais faut savoir que cela m’a permis de prendre un peu de recul sur le contenu et la forme du blog.

Statistiques qui sont relativement bonnes

C’est pas aussi folichon qu’en 2019 mais je tiens encore à dire que nous avons battu le record du nombre de visiteurs qui est en février 2020 avec 13’936 visiteurs.

En 2019, il s’agissait du mois de juillet avec 12’793 visiteurs.

La Rétrospective

Alternative Suisse au stockage des données

Je commence cette rétrospective avec l’article de kDrive (d’Infomaniak), j’ai été l’un des privilégiés à pouvoir utiliser la première version bêta lancé il y a un an.

Par la suite, j’ai pu faire transiter quelques personnes de Google Drive/OneDrive/Dropbox à kDrive :).

Et pendant le confinement il m’était très utile à créer des boîtes de dépôts et partager des documents pour mes travaux.

Les visioconférences

J’avais sondé une trentaine de personnes sur leur utilisation des logiciels de visioconférence.

Le début du sondage tombait en même temps que la polémique sur le traitement des données chez Zoom (qui était très voire trop prisé lorsque tout le monde était en home-office).

Donc cela m’a permis de faire un lien que je ne m’attendais pas trop à faire, mais le résultat était intéressant.

Personnellement, la plateforme que j’utilise le plus (qui est toujours le cas actuellement) est Discord : autant pour les cours professionnels que pour rester en contacts avec mes proches.

Contact tracing

Continuons sur la même lancée, j’ai pu parler du contact tracing (bien avant les directives qui ont été pris sur le Canton de Vaud avec SocialPass).

Et c’était en même temps que le lancement de l’application SwissCovid.

Pour vous donner un peu plus le contexte (ou vous le rappeler), suite à la première réouverture des restaurants en mai, GastroVaud (la société qui gère tous les restaurateurs sur le canton de Vaud) ont mis en place des feuilles où on devait inscrire nos noms, numéros de téléphone, …

Dans le cas où quelqu’un serait positif, le médecin cantonal peut appeler les personnes qui ont été autour d’elle durant ce temps.

Mais bon qui dit papier, dit transmission entre les tables et visibilité des coordonnées des autres personnes…

Donc niveau traitement des données c’est pas tellement top, du coup Infomaniak ont mis rapidement en place un système qui permet aux restaurateurs de créer des QR code pour pouvoir le faire de manière numérique.

Les avantages : les données des hôtes restent en Suisse, non visible des autres et Infomaniak informe le canton s’il y a un cas positif.

L’article en question

Derrière nos écrans en fumée

Ce film-documentaire produite par Netflix reflète extrêmement bien la réalité de notre utilisation des réseaux sociaux et de l’internet en général.

Tout se généralise sur du cloud niveau travail, privé, vie associative, …

Après avoir vu ce film, cela remet en question le positionnement des géants du web (vous savez, la fameuse GAFAM qu’on utilise quotidiennement).

Et cela (petit parallèle) a fait ses preuves lorsqu’on était victime d’une panne partiel des services de Google (les services de Google Drive et YouTube) le 14 décembre.

Pour ceux qui n’auraient vu ni l’article que j’ai fait mon analyse personnel ou même vu le film voici les liens :

L’article

Le film (sur Netflix)

Espérons que 2021 sera mieux

Je vous souhaite de très belles fêtes de fin d’année et on espère tous que 2021 sera meilleur que cette année très étrange.

Mais je ne vous abandonne pas complètement car comme chaque année, je publierai un article le 1er janvier à 0h00 pour vous souhaiter une belle année.

Coup de coeur d’un film-documentaire : “Derrière nos écrans de fumée” sur Netflix

Coup de coeur d’un film-documentaire : “Derrière nos écrans de fumée” sur Netflix

Avant-propos

Je tiens à préciser que ce film se trouve uniquement sur Netflix mais il en vaut le détour, je mets le lien (pour ceux qui ont Netflix) tout en bas de l’article.

Il a été réalisé en début d’année 2020, donc fait très récemment et il regroupe une partie documentaire avec des interviews d’anciens concepteurs de Google, Facebook, Pinterest, Instagram (avant son rachat par Facebook), et des militants contre les réseaux sociaux et le traitement des données.

Il regroupe également une grande partie des sujets d’actualité en 2020.

Quand je dis concepteurs, ce sont ceux qui ont conçus la plateforme Gmail (niveau présentation et en backend, le développement), les likes sur Facebook, les scrolls à l’infini sur les réseaux sociaux.

Et il regroupe aussi une partie fiction qui représente de ce qui a été dit lors des interviews pour bien faire comprendre l’illustration du quotidien d’un usager lambda comme vous et moi avec les réseaux sociaux.

Trouver le juste milieu entre vous expliquer le documentaire sans trop aller dans les détails, parce qu’il y a beaucoup à raconter ni de vous gâcher certains passages est relativement ambitieux.

Voici la bande-annonce officielle :

Maintenant, les spécialistes disent que ce n’est pas rattrapable

On parle de ceux qui ont conçu une grosse partie des réseaux sociaux et donc sont maintenant pères-mères de famille avec des enfants.

Ces personnes là, interdisent leurs enfants d’aller sur les réseaux sociaux car l’histoire qui est derrière tout cela est juste inimaginable à y croire et ce n’est pas banal comme décision à prendre.

On a tous reçu une fois au moins sur n’importe quelle plateforme, une notification avec des recommandations pour aller soit voir une publication ou une vidéo.

Le fait de faire ce clic, tout un algorithme se met en place pour vous en recommander d’autres tout en calculant le nombre de fois que vous avez déverouillé votre téléphone, êtes allés sur la plateforme et le temps que vous passez dessus.

Plus vous cliquez sur ces recommandations, plus il va affiner sa recherche avec vos centres d’intérêts.

Rechercher un produit peut vite être submergé de bannières de publicités

Pendant le confinement, j’ai cherché une nouvelle machine à café pour la maison donc on va sur les gros sites en Suisse tels que galaxus.ch, manor.ch et j’en passe… pour trouver celui au meilleur prix.

Car fallait pas oublier, les magasins qui vendent ce genre de produits, étaient fermés suites aux directives du Conseil Fédéral de mars.

Trouvant ma machine à café j’ai pu remarquer que les minutes qui ont suivies, mon téléphone était innondé de pubs pour la machine à café que je voulais dès que j’allais sur Facebook, YouTube, Instagram, …

Tout cela pour dire qu’une simple recherche sur un site totalement basique peut vite nous submerger avec des publicités de ce style.

Les partages des posts

Je vais prendre un sujet où (selon moi) on entend tout et rien en même temps : la situation sanitaire actuelle.

On n’a jamais, dans l’histoire des réseaux sociaux, autant médiatisé et repartagé des infos (vraies et fausses) sur le COVID-19.

Les médias Suisses ont bel et bien compris ce qui circule sur les réseaux sociaux et vu qu’ils ont le petit label bleu certifiant qu’il s’agit bien d’une page officielle rajoute une couche en mettant des gros titres qui font bien réagir.

J’ai pu le remarquer quand l’OFSP (l’Office Fédéral de la Santé Publique) ont sorti les chiffres des nouveaux cas positifs durant la période mai-août (la période avant qu’ils rendaient accessibles les tests PCR gratuit) les médias n’ont pas dit “La suisse compte XXX cas lors des derniers 24h” mais plutôt “La Suisse est à un taux de contamination de XX% pour 100’000 habitants” ce qui faisait bel et bien des suppositions.

Et même maintenant quand ils mentionnent les 72 dernières heures, les médias s’empressent pour dire les gros chiffres mais pas la durée dans leurs titres.

Tout cela pour dire, qu’un simple clic une publication peut prendre beaucoup d’ampleur en très peu de temps, d’ailleurs ils en parlent d’un sujet en particulier qui n’est pas lié au COVID mais l’idée et l’intention est la même.

Les jeunes accros aux J’aimes et TikTok

Ce qui m’a particulièrement interpellé ce sont comment, nous, les jeunes d’aujourd’hui qui sont bassinés dans ce monde des réseaux sociaux arrivent à voir qu’on est dans une telle addiction.

Petite anecdote du blog et personnelle en même temps, pour moi Facebook, Twitter, Instagram, … ce sont une majeure partie juste mes outils de travail pour mes activités comme johantech.ch ou mes autres sites que je veux mettre en avant.

Bien évidemment, que je suis heureux de voir des utilisateurs qui likent mes publications et qui les commentent que juste voir qu’une partie a juste vu mon post et ont continué à scroller sur leur fil d’actualité.

Et aussi depuis le début de cette année scolaire, la radio avec quoi on publie une story pour voter sur un sujet de débat qu’on parle lors du talk-show le soir même et aussi une photo où on s’identifie avec nos comptes privés pour la promo de l’émission.

En gros, avoir plus de l’interaction des utilisateurs/lecteurs qu’autre chose.

Tout cela pour dire que les jeunes se fient énormément aux likes et aux commentaires pour savoir si oui ou non leur posts seront réellement appréciés de leur réseau d’amis ou voire même du monde entier.

Après si on utilise la version business d’Instagram et Facebook, on peut voir le nombre de personnes qui ont vu la publication, consulté le profil/page en question, cliqué sur le lien (s’il y en a un).

TikTok

Oui, cela fait depuis un long moment que je voulais parler de ce réseau social (enfin… si je peux appeler ceci un réseau social réellement ou non) qui est très fréquenté par les jeunes (10 ans et +) et au niveau politique qui fait pas mal de bruit.

Mon intention est de donner mon point de vue qui est et reste totalement personnelle, après j’entends le point de vue de chacun sur cet outil très prisé.

Ils en parlent dans le documentaire et cela lie beaucoup aux reportages que j’ai vu de jeunes influenceurs (donc de 10 ans, quand je dis jeunes) qui arrivent à monétiser leurs publications via TikTok avec un gros appuis de leurs parents derrière la caméra.

Pour rigoler, je l’ai installé (oui je l’assume, j’ai TikTok depuis le confinement de mars), et on peut voir qu’une grosse partie ce sont des personnes qui font des actions relativement absurdes sans trop réfléchir.

Tellement absurdes qu’on s’amuse avec mon collègue du travail à s’envoyer des vidéos/liens de TikTok sur WhatsApp à longueur de journée.

A un moment donné, c’est juste tellement répétitif que je m’en suis un peu lassé et préféré de passer à autre chose, mais l’application reste sur mon téléphone.

Quand-même, voici une vidéo TikTok qu’on peut retrouver très facilement :

Conclusion

Je vais quand-même essayer de conclure sur un sujet qui me paraît important d’en parler et même que l’école doivent montrer le film aux élèves car cela va vraiment les intéresser et les sensibiliser sur l’utilisation et le fonctionnement des réseaux sociaux.

Voici comme promis le lien du film à retrouver uniquement sur Netflix :

Roadmap pour 2020

Roadmap pour 2020

Avant-propos

Premièrement, je voulais m’excuser pour mon absentéisme ces derniers temps, le blog sonnait un peu le vide.

Deuxièmement, j’ai un peu réfléchi à l’avenir, les nouveautés qui vont me sembler pertinent à rendre ce blog plus attractif.

Et dernièrement, un très GROS merci pour votre fidélité !

Sans vos lectures et visites, ma motivation serait déjà baissée depuis un long moment.

Rien que ce mois vous êtes plus de 10’913 visiteurs et 24% d’entre-eux sont des récurrents.

Pour vous donner une idée, la moyenne annuelle du nombre de visiteurs était de 5’327 visiteurs en 2018 et de 9’673 visiteurs pour 2019 (arrêté au mois de novembre).

Les nouveautés pour 2020…

Plus de visibilité

Je me suis fait un assez gros plaisir en achetant la suite Adobe (Photoshop, inDesign, …) et je me suis déjà amusé à faire deux vidéos qui vont aller sur les réseaux sociaux.

Les voici, ils sont très courts :

Par là, j’aimerais atteindre plus de visibilité sur les plateformes pour générer plus d’abonnés.

Certes cela prendre du temps mais je reste confiant à l’idée qu’on peut atteindre un objectif relativement raisonnable et qui va se faire sur le long terme.

Plus d’interaction

J’avais écrit dans le roadmap pour 2019 que j’allais me consacrer sur la visibilité, une première appoche a été déjà fait via l’affiliation d’Infomaniak (qui m’ont généreusement offert l’hébergement web+mail pour johantech.ch pour les deux prochaines années) !

Pour 2020, je vais plus me consacrer aux commentaires des articles, je trouve qu’il manque cette interaction entre le blogueur (moi) et les lecteurs (vous qui lisez).

3 ans, déjà…

Cela va (déjà) faire trois ans que j’écris des articles, certaines un peu moins pertinentes que d’autres.

En persistant, il est possible d’atteindre au but.

En espérant que 2020 va permettre au blog de se “spécialiser” dans une section dans ce vaste monde de la technologie ;).

Pour marquer le coup

Je vais planifier un autre article pour le 31.12.19 à 23h59 pour vous souhaiter une excellente année 2020.

Conclusion

Je voulais vraiment vous remercier, lectrices et lecteurs pour vos visites (qui sont toujours de plus en plus nombreuses).

Le “Phonexit” s’applique de façon définitive pour le canton de Vaud

Le “Phonexit” s’applique de façon définitive pour le canton de Vaud

Depuis lundi, toutes les écoles obligatoires du canton doivent suivre la nouvelle directive de la DGEO (Direction Générale de l’Enseignement Obligatoire) à savoir que les téléphones portables des élèves doivent être éteints et rangés dans leurs sacs.

Ce qui inclut la récréation (pause du matin) et la pause de midi, sauf dans des cas exceptionnels comme une recherche sur la demande de l’enseignant.

Projet pilote concluante pour le canton

L’année dernière 10 établissements ont été soumis à un projet pilote sur l’éducation numérique.

À savoir, l’utilisation portable durant le temps scolaire (durant la pause matinale seulement) une majorité de ces 10 établissements avaient déjà interdit le smartphone durant le temps scolaire et encore pour certains la pause de midi.

Entre autre, dès que les élèves sont sous la responsabilité de leur établissement scolaire le téléphone portable n’est plus toléré.

Durant les camps de ski, vu qu’il s’agit d’un temps scolaire et sous la responsabilité de l’école, est-ce toléré ?

J’en avais également parlé que durant ce pilote, la DGEO n’avait pas assez poussé la réflexion sur l’interdiction.

Suite à ce point soulevé officiellement pour la rentrée 2019-2020, il sera interdit ou restreint à des heures précises.

Statistiquement les jeunes passent deux à trois fois plus de temps sur des objets numériques que leurs parents

Selon la Commission fédérale pour l’enfance et la jeunesse, un jeune (16-25 ans) passe en moyenne quatre heures par jour sur leur téléphone durant leur temps libre (hors-scolaire)

Ceci est bel et bien une moyenne et selon la Commission, 25% des jeunes peuvent y passer plus de cinq heures par jour.

Pourquoi équiper ses enfants aussi tôt d’un smartphone ?

En temps normale, il s’agit des parents qui les équipe d’un téléphone portable, pour par exemple être sûr que tout va bien.

Un parent veut toujours avoir “une certaine rassurance” que leur/leurs enfant/-s va/vont bien comme en ayant leur numéro de téléphone dans leurs répertoires de téléphone.

Et encore plus quand le jeune va à l’école tout seul, il a besoin de savoir ce qu’il se passe.

Est-ce que c’est une bonne chose qu’un enfant ait un abonnement illimité ?

Avant que j’ai eu mon abonnement illimité, j’avais un compte prépayé et donc je utilisais rarement mon téléphone car il m’avérait pas très utile.

Dès lors que j’ai reçu mon contrat illimité (téléphonie, SMS et données) partout en suisse, tout est parti de là où je pouvais facilement avoir une quarantaine de discussions qui tournent quotidiennement.

Ça paraît excessif ?

Pas du tout, c’est comme si on annonçait à tout le monde qu’on est non-stop disponible par message.

Donc selon moi, ça ne sert pas à grand chose avant les 14-15 ans (ce qui équivaut à la dernière année de l’école obligatoire en temps normal) car avant cela ne va pas arrêter de les encourager de regarder des vidéos, de textoter, …

Conclusion

Mais d’un autre côté, je ne comprends pas tellement le sens d’interdire pendant la pause de midi, est-ce que cela va les encourager à y consulter plus souvent?

Et par le fait d’interdire durant toute une journée scolaire, à 90% des chances leur premier réflexe en sortant du bâtiment c’est d’allumer leur téléphone et regarder “ce qu’ils ont loupé durant la journée”.

Quels seraient nos vies sans nos téléphones ?

Quels seraient nos vies sans nos téléphones ?

C’est une question que je me suis toujours posée et que j’essaye de le traiter via différents articles.

Dans notre société actuelle, spécialement chez les jeunes c’est très difficile de se détacher de son téléphone.

Mais pourquoi est-il difficile?

Snapchat

C’est l’une des raisons pourquoi il est difficile de s’en séparer.

Beaucoup de personnes (j’en fais partie) utilise Snapchat pour “envoyer les flammes” à ses meilleurs amis virtuelles.

Les flammes représente le nombre de jours consécutifs où les deux correspondants s’envoient des photos, certes inutiles.

On peut le savoir par les petit encadrés rouges que j’ai mis en évidence :

Bon, avec qui je les fais je les connais très bien, ce sont vraiment de bonnes connaissances, en aucun cas je vais m’amuser à le faire avec des gens inconnus.

Donc, il suffit d’un jour où on ne s’envoie pas de photos et pouf, tout disparait.

C’est pourquoi je mandate une personne (lorsque je suis absent et sans mon téléphone) qui les fais à ma place, c’est ça l’astuce :).

Les groupes sur WhatsApp

On le sait tous, les groupes de discussions sur WhatsApp où on est assez passif mais la discussion en elle-même est très active entre le nombre de participants sur le groupe.

C’est toujours l’horreur premier de recevoir trop de messages de ces groupes lors d’une absence prolongée.

Alors pour ça, je ne vois pas d’autres remède que de subir le ras de marrée de messages au retour (du style j’avais fait ces trois jours sans mon téléphone et résultat près de 300 nouveaux messages de 13 discussions différentes).

Pour moi, c’est l’angoisse premier de savoir pas ce qui a été écrit dans la minute et, des fois, il suffit que je ne regarde pas mon téléphone pendant une heure que je me sens déjà attaqué par le nombre de messages.

Ce qu’il faut savoir c’est près de 100’000 messages/photos/notes audios/fichiers .pdf… envoyés à la seconde via l’application.

L’actualité

Être à 100% débranché c’est de ne pas savoir dans la minute ce qu’il se passe à l’autre bout du monde.

On reçoit, en général (y compris les messages via WhatsApp), beaucoup trop d’infos à la seconde.

Alors c’est vrai qu’on l’a toujours prétextant que c’est “au cas-où” alors que dans 70% des cas ce n’est pas utile.

Après il existe des exceptions, comme être enseignant et que le maître sort dans la forêt avec ses élèves et qu’il se blesse, c’est dans une circonstance plus particulière.

Est-ce plus un gadget qu’un téléphone servant à téléphoner ?

Alors, petite anecdote, j’étais parti camper avec des amis non-loin, et la nuit on était un peu attaqué par des insectes ressemblants beaucoup à des moustiques qui étaient attirés par les lampes torches.

Et c’était là où je m’étais rendu compte que j’avais oublié le spray anti-moustique à la maison.

Du coup, après maintes recherches sur l’App Store, j’avais trouvé une application qui produisait des ultrasons via les haut-parleurs du téléphone.

Echec total, du coup j’en ai réessayé quatre autres mais aucune ne fonctionnait comme je l’avais espéré…

Alors soit à ce moment là il ne s’agissait pas de moustiques mais d’une autre espèce d’insecte inconnue pour moi ou c’était mon téléphone qui n’était pas assez puissant pour les tuer.

L’appel s’agit de la dernière fonctionnalité utilisé sur un téléphone

L’appel en soit n’est plus tellement utilisé, beaucoup de personnes s’envoient des messages car c’est censé être plus instantané qu’un appel.

Alors là on fait tous la même faute, en règle général vaut mieux d’appeler pour avoir la réponse directement au lieu d’envoyer un message et attendre éternellement et être furax car la/le correspondant/-e a lu mais n’a pas répondu au message et est en plus en ligne.

Alors moi je sais que la dernière fois que j’ai été appelé c’était à 21h hier soir et quelques pour avoir de mes nouvelles.

Comment développer sa présence sur les réseaux sociaux ?

Comment développer sa présence sur les réseaux sociaux ?

La présence sur les réseaux sociaux est devenue indispensable dans nos jours, surtout si c’est de promouvoir une activité qu’on fait.

L’âge moyen des différents réseaux sociaux

Avec toutes ses polémiques, l’âge moyen qu’on trouve sur Facebook (41 ans) est beaucoup plus haute que celui d’Instagram (25 ans) ou encore Snapchat (16 – 17 ans)…

C’est vrai que ces chiffres sont assez impressionnants, le stéréotype qu’on peut voir et entendre souvent ce sont les 30-35 ans et plus qui sont figés sur Facebook.

Si on leur parle de Snapchat ou Instagram ils sont perdus.

L’objectif est que les jeunes voient plus large

C’est un objectif qui est assez périlleux quand moi j’essaye de montrer à certains qu’il existe plus que de poster sur les réseaux sociaux.

Comment faire pour leur faire prendre goût?

Honnêtement, ça fait deux ans que je fais ce blog et c’est seulement il y a quelques mois dont les statistiques montent progressivement.

Bon, il existe quelques mois où ça fait “hic”, comme le mois d’avril qui a fait 500 visiteurs de moins que le mois de mars.

Qu’est-ce qui a fait que moins de visiteurs sont venus ? (à cause des vacances ?)

Instagram, je ne le cache pas, s’agit un peu de mon point faible pour johantech.ch…

J’ai fait le test de Lightroom

Depuis que j’ai découvert qu’il est gratuit sur iOS je l’utilise pour voir ce que ça fait comme rendu.

Bon, mon chat été plusieurs fois le cobaye pour l’utilisation de Lightroom, j’utilise le mode Portrait de mon iPhone et le rendu donne assez bien :

Sans de modifications via Lightroom…

Après un petit passage sur Lightroom pour voir ce que ça donne, j’ai appuyé sur “Auto” pour qu’il fasse les pré-configurations lui-même…

Et je modifie pour que ça donne des couleurs dynamiques :

Ça donne son petit côté rétro avec le brun-doré qui ressort encore plus.

Canva

La solution qui pourrait complémenter Lightroom s’agit de Canva.

Il s’agit d’un site qui permet de créer des graphismes et tout formats, il en existe des pré-configurés pour les réseaux sociaux.

L’avantage, c’est qu’avec la version gratuite, on peut créer beaucoup de bonnes choses.

J’utilise un peu pour le compte Insta du blog, à revoir comment mieux améliorer pour apporter une valeur réelle et que les internautes tombent sur le site.