Ces derniers temps, j’ai lu un belle et grosse partie du rapport de la Confédération et plus précisément de la Commission fédérale pour l’enfance et la jeunesse.

Rapport

Je voudrais juste faire une petite parenthèse sur la couverture:

Plus je l’observe, plus je me rends compte de comment on évolue dans cette ère numérique.

Se préparer à l’inconnu

Il faut savoir que depuis la révolution industrielle, une grosse évolution s’est faite économiquement:

Certaines sociétés faisaient faillite (comme comptable) et d’autres arrivent sur le marché (comme un logiciel qui permet de gérer de la comptabilité avec une intelligence artificielle).

Ce qui est sûr, demain ne sera pas semblable à ce qu’on a aujourd’hui.

Il est presque impossible de faire une prédictions des métiers, les profils.

On estime 65% des enfants débutant en école primaire (∼ jusqu’à 6 ans) travailleront plus tard dans des métiers que nous ne connaissons pas aujourd’hui.

Ce n’est qu’un détail, les profils ne cesseront d’évoluer.

Est-ce qu’on parle d’éducation obsolète ?

Pour les profils spécifiques et en terme dans les écoles obligatoires oui, car on ne sait pas quoi s’attendre pour le monde de demain.

Les élèves qui sortent cette année en école obligatoire ont plus de chances que d’ici trois à cinq ans.

L’enjeu est d’accompagner les futurs élèves à un avenir encore trouble à l’heure actuelle.

La volonté de transmettre aux élèves le savoir-faire d’un enseignant aujourd’hui est une idée dépassée, selon certains car ce grand mystère pèse énormément sur les épaules des élèves et des formateurs.

Maintenant il faut qu’on soit plus formé sur comment trier les milliers d’informations qu’on reçoit quotidiennement.

S’il s’agit d’un fake news, ou un endroit certifié, crédible et avec pertinence.

Bonne idée les outils numériques en classe ?

Les parents se questionnent actuellement si c’est réellement un besoin que des jeunes élèves utilisent des tablettes/ordis en classe.

Un enfant qui est en pleine formation à l’école obligatoire est curieux, et quand il voit des adultes pianoter sur leurs smartphones: à échanger des messages WhatsApp, publier des photos de leurs récentes vacances, …

Il veut comprendre comment fonctionne ces outils qui est très influencé chez les adultes.

Petit parallèle

Dans notre classe, on a fait les trois jours sans téléphones, mon enseignante principale a envoyé un mail à tous ses collègues en leur disant qu’on allait le faire.

Réaction des collègues, ils seraient incapables de le faire, qu’on est des fous.

Toute fois, la question se pose: quelle place doit avoir ces engins connectés dans notre formation?

En Suisse, on est des perfectionnistes

En parlant de formation, faut savoir qu’on est le deuxième pays (Luxembourg est le premier et Lituanie en troisième) à exiger une qualification élevée lors la demande d’un emploi.

Ce qui est pour de sûr, plus on est formé (donc aller jusqu’au Master/Doctorat) plus la probabilité de se faire embaucher est grande.

Après l’école obligatoire, on a 60% de chance de pouvoir se faire embaucher, ce qui est pas grand chose et une pente risquée…

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